Un proche qui ne peut plus conduire après une opération, une convocation pour un contrôle médical, le retour à domicile après une hospitalisation : ces situations rappellent combien le transport sanitaire joue un rôle central dans le maintien à domicile et la continuité des soins. Familles et aidants cherchent des réponses claires sur les conditions de prise en charge, les démarches administratives et les choix entre ambulance, VSL ou taxi conventionné. Les incertitudes pèsent sur la sécurité, le coût et l’organisation pratique des déplacements.
La problématique se concentre sur plusieurs enjeux concrets : garantir la sécurité médicale pendant le trajet, préserver l’autonomie du patient et maîtriser le reste à charge pour les familles. Les questions récurrentes concernent la nécessité d’une prescription médicale, l’obtention d’un accord préalable pour les trajets longue distance, et les situations d’exonération de participation financière. Ces éléments conditionnent la capacité à organiser un transport adapté sans surcoût évitable, et orientent vers des solutions pratiques pour accompagner un proche fragile.
Remboursement des frais de transports par l’Assurance maladie : règles et bénéficiaires
La prise en charge des frais de transport par la Sécurité sociale repose sur des critères précis qui concernent tant le motif du déplacement que l’état de santé du patient. Pour que l’Assurance maladie effectue un remboursement, il faut généralement une prescription établie par un médecin. Cette prescription atteste que le transport est lié à des soins, un bilan ou une hospitalisation et précise le mode de transport le plus adapté : Ambulance, VSL (véhicule sanitaire léger) ou taxi conventionné. La prescription est valable pendant un an et sert de document de base pour constituer un dossier de remboursement.
Les personnes pouvant bénéficier de cette prise en charge sont non seulement le patient, mais aussi ses ayants droit et, si nécessaire, un accompagnateur lorsque la personne transportée est mineure ou a besoin d’une tierce personne pour assister aux soins. Des situations précises permettent une prise en charge systématique : hospitalisation, naissance, affections de longue durée (ALD), retours liés à un accident du travail, ou encore transports nécessitant une surveillance ou un allongement (ambulance).
- Prescription médicale obligatoire dans la plupart des cas (formulaire Cerfa n°11574).
- Cas d’exonération ou de prise en charge totale : ALD, accident du travail, bénéficiaires de la CSS ou de l’AME.
- Transport d’urgence pré-hospitalier pris en charge intégralement.
Situation | Mode de transport souvent prescrit | Prise en charge typique |
---|---|---|
Hospitalisation (entrée/sortie) | Ambulance ou VSL | 55% ou 100% selon cas |
Affection longue durée (ALD) | VSL / taxi | Possibilité de 100% |
Transport urgent | Ambulance (SAMU/SMUR) | 100% |
Pour la demande d’accord préalable, certaines situations requièrent un formulaire spécifique (Cerfa n°11575) lorsque il s’agit de longues distances (>150 km aller) ou de séries de trajets réguliers (au moins quatre trajets >50 km aller sur deux mois pour un même traitement). Le professionnel de santé remplit la demande et l’adresse au service médical de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM). Si la CPAM ne répond pas sous 15 jours, l’accord est tacitement acquis.
Des documents justificatifs seront nécessaires pour le remboursement : facture du transporteur, état des frais (formulaire Cerfa n°11162) pour le véhicule personnel, ou facture Cerfa n°11163 pour VSL et ambulance. En pratique, l’Assurance maladie rembourse sur la base des tarifs conventionnés, avec un taux de 55% en règle générale, sauf exonérations prévues. Les familles peuvent s’informer plus précisément sur les aides au transport pour personnes âgées via des ressources spécialisées comme https://vimo-senior.fr/aide-transport-personnes-agees/.

Quand l’Assurance maladie prend en charge ambulance, VSL et taxi conventionné
Le choix entre Ambulance, VSL et taxi conventionné dépend essentiellement de l’état clinique et des besoins lors du trajet. Une personne nécessitant une surveillance continue ou un transport allongé verra généralement l’ambulance prescrite. Si le déplacement exige une prise en charge par du personnel soignant (brancardage, soins pendant le trajet), l’ambulance est la solution la plus adaptée.
Le VSL est destiné aux patients qui peuvent être transportés dans une position assise mais qui ne sont pas en état de conduire eux-mêmes. Les VSL sont opérés par des personnels formés et peuvent être prescrits pour des personnes en ALD ou quittant l’hôpital sans pouvoir utiliser un véhicule personnel. Le taxi conventionné, quant à lui, convient aux patients ambulatoires qui ont besoin de soutien minimal mais pour lesquels un transport adapté est nécessaire. Ces taxis sont conventionnés avec l’Assurance maladie pour permettre le tiers payant dans certains cas.
- Ambulance : transport allongé / surveillance nécessaire.
- VSL : transport assis professionnalisé pour personnes non autonomes.
- Taxi conventionné : trajet assis, tiers payant possible.
Mode | Indication clinique | Tiers payant possible |
---|---|---|
Ambulance | Transport allongé, surveillance médicale | Oui |
VSL | Personne assise, besoin d’aide à la montée/descente | Oui |
Taxi conventionné | Déplacements ambulatoires simples | Oui, dans certains cas |
Pour orienter le choix, le médecin précise sur la prescription le mode de transport le plus adapté, le motif médical et s’il est compatible avec un transport partagé. À titre d’exemple, un patient en suivi de chimiothérapie pour lequel le médecin indique que l’état permet un transport partagé se verra proposer un trajet collectif, ce qui peut réduire le coût et améliorer l’organisation des établissements de soins.
La présence d’un accompagnateur est prise en charge uniquement pour les mineurs ou les personnes nécessitant l’assistance d’une tierce personne. Par ailleurs, certains transports, comme ceux liés à une cure thermale, obéissent à des règles spécifiques de prise en charge indexées sur les ressources. Les familles peuvent consulter des ressources pratiques pour préparer le trajet, et des prestataires locaux comme Ambulances Harmonie Médico Service ou Ambulances JUSSIEU Secours figurent parmi les opérateurs pouvant intervenir selon la région et la convention.
Prescription médicale, accords préalables et démarches administratives
La prescription médicale de transport constitue la pièce maîtresse du dossier de remboursement. Elle se formalise généralement par le formulaire Cerfa n°11574. Lorsque le transport nécessite un accord préalable — par exemple pour une distance supérieure à 150 km aller ou pour une série de trajets fréquents — le médecin remplit le Cerfa n°11575 destiné au service médical de la CPAM.
La demande d’accord préalable doit contenir des éléments clairs : le mode de transport recommandé, la nature et le motif du déplacement, et l’indication sur l’éligibilité au transport partagé le cas échéant. Si la CPAM ne répond pas dans les 15 jours, l’accord est considéré comme donné. En cas de refus, l’assuré reçoit un courrier précisant les motifs et les voies possibles de recours.
- Formulaires nécessaires : Cerfa n°11574 (prescription), n°11575 (accord préalable).
- Justificatifs de paiement : facture du transporteur, ou état des frais (Cerfa n°11162).
- Factures spécifiques pour VSL/ambulance : Cerfa n°11163.
Étape | Document | Délai/Observation |
---|---|---|
Prescription initiale | Cerfa n°11574 | Valable 1 an |
Accord préalable | Cerfa n°11575 | Réponse sous 15 jours sinon acceptation tacite |
Remboursement | Facture / Cerfa n°11162 ou n°11163 | Envoyer à la CPAM |
Des situations particulières permettent la prescription après un transport d’urgence ; la prescription peut alors être établie rétroactivement. Le patient ou ses proches doivent conserver toutes les pièces justificatives : factures, tickets, justificatifs de péage si nécessaire. Les transporteurs doivent détailler le trajet et le motif pour faciliter le traitement du dossier par la CPAM.
Pour trouver rapidement un opérateur adapté, l’annuaire santé d’Ameli répertorie les VSL et ambulances agréées. Les caisses locales peuvent aussi orienter vers des taxis conventionnés. Dans plusieurs régions, des sociétés telles que Ambulances Kéolis Santé, Ambulances SCOR Santé ou Ambulances Bernard interviennent en complément des services hospitaliers. Enfin, des ressources pratiques sur l’organisation du retour à domicile et les alternatives d’hébergement temporaire sont disponibles sur des pages spécialisées comme https://vimo-senior.fr/maisons-retraite-privees-public/ et https://vimo-senior.fr/marpa-maisons-accueil-age/, utiles pour envisager des solutions complémentaires après un séjour hospitalier.

Transport partagé : modalités, avantages et limites pour les personnes âgées
Le transport partagé vise à regrouper plusieurs patients pour un même trajet vers un établissement de soins. Lorsque l’état de santé le permet, le prescripteur précise si le patient est compatible avec ce mode. L’organisateur du transport informe le patient des modalités et des conséquences en cas de refus. Refuser un transport partagé peut entraîner la nécessité d’avancer l’intégralité des frais, bien que le remboursement s’effectuera ensuite selon les règles habituelles.
Deux conditions cumulatives encadrent le transport partagé : d’une part, le détour occasionné ne doit pas être supérieur à 10 kilomètres par patient à partir du 2e patient transporté, dans la limite de 30 kilomètres. D’autre part, l’attente sur le lieu de soins ne doit pas dépasser 45 minutes au total avant et après la prise en charge. Ces limites protègent la dignité et le confort des patients, et réduisent les risques d’un trajet excessivement long.
- Avantages : coût réduit, organisation logistique simplifiée, moins d’émissions liées aux trajets.
- Inconvénients : perte de flexibilité horaire, attente possible, contraintes de proximité géographique.
- Conditions : détour max 10 km/patient, attente max 45 min, compatibilité médicale requise.
Critère | Limite | Conséquence |
---|---|---|
Détour | ≤ 10 km par patient (à partir du 2e) | Respect de la durée maximale |
Attente | ≤ 45 minutes | Préserver confort et rendez-vous |
Compatibilité | Décision médicale | Refus possible sans perte immédiate de droit |
Le transport partagé concerne principalement les soins itératifs : chimiothérapie, radiothérapie, séances d’épuration extrarénale pour insuffisance rénale chronique, réadaptation ou hospitalisation de jour. Il ne s’applique pas aux situations d’urgence. Pour des patients âgés, la compatibilité dépend non seulement du diagnostic, mais aussi de la mobilité, des besoins en aide à la montée/descente et de la tolérance aux trajets groupés.
Des prestataires comme Ambulances ASSU 94, Ambulances Avenir Santé ou Ambulances France Secours proposent des services modulables, incluant des solutions de transport partagé. Les familles doivent être informées que, si le médecin précise l’aptitude au transport partagé et que le patient refuse, l’organisateur doit mentionner ce refus sur la facture. L’avance des frais peut être demandée, mais le remboursement interviendra ensuite sur présentation des pièces.
Coûts, franchise et taux de remboursement : calculer le reste à charge
Le remboursement de base pour les transports sanitaires par l’Assurance maladie est fixé à 55% des frais sur la base des tarifs conventionnés. Cependant, certaines situations ouvrent droit à une prise en charge à 100% (dans la limite des tarifs de la Sécurité sociale). Parmi ces cas figurent : la grossesse, le nouveau-né de moins de 30 jours, les accidents du travail, les maladies professionnelles, les ALD, ainsi que les bénéficiaires de la Complémentaire santé solidaire (CSS) ou de l’Aide médicale de l’État (AME).
La participation appelée franchise médicale s’applique aux transports en taxi conventionné, en VSL et en ambulance, sauf cas d’urgence ou exonération. Cette franchise est de 4 € par transport, dans la limite de 8 € par jour, et plafonnée à 50 € par an et par personne. La franchise ne concerne ni le véhicule personnel ni les transports en commun ni les transports d’urgence (SAMU, 15).
- Taux standard : 55% des tarifs conventionnés.
- Exonersion possible : 100% pour certaines situations médicales et sociales.
- Franchise : 4 € par transport, 8 € max par jour, plafond 50 €/an.
Cas | Taux de remboursement | Franchise applicable |
---|---|---|
Transport standard | 55% | Oui (4 €) |
ALD / AT / MP | 100% | Non |
Transport urgent | 100% | Non |
Pour estimer le reste à charge, il convient de récupérer la facture détaillée du transporteur et de vérifier si le transport relève d’une exonération. Les organismes complémentaires (mutuelles) peuvent compléter le remboursement et couvrir la franchise. Pour les familles cherchant des solutions d’accompagnement global, des pages pratiques comme https://vimo-senior.fr/aide-menagere-services-personnes-agees/ proposent des informations utiles sur les aides à la mobilité et les services d’accompagnement à domicile.
Un exemple concret : un trajet en VSL facturé 50 € sera remboursé à 55% soit 27,50 € par la CPAM, puis la franchise de 4 € sera déduite du remboursement, menant à un remboursement net inférieur si aucune complémentaire n’intervient. Si le patient est en ALD, la totalité des 50 € pourra être prise en charge par l’Assurance maladie.

Choisir le bon mode de transport pour préserver sécurité et autonomie
Le choix du mode de transport doit répondre à trois objectifs : sécurité clinique, confort du patient et respect de l’autonomie. Pour chaque situation, il convient d’évaluer le besoin d’assistance lors des transferts, la nécessité d’une surveillance médicale pendant le trajet et la tolérance du patient aux déplacements. Les solutions d’aménagement du domicile, comme l’installation d’un monte-escalier ou l’adaptation de la salle de bain avec une douche PMR et des barres d’appui, complètent l’approche en réduisant la fréquence des transports nécessaires en offrant plus d’autonomie à domicile.
Voici une grille d’aide au choix :
- Transport urgent ou instable : ambulance.
- Transport assis avec aide modérée : VSL.
- Transport autonome mais sans véhicule personnel : taxi conventionné ou transports en commun.
Critère | Ambulance | VSL | Taxi conventionné |
---|---|---|---|
Surveillance médicale | Oui | Non | Non |
Transport allongé | Oui | Non | Non |
Aide à la montée/descente | Oui | Oui | Variable |
Il est utile de connaître les prestataires locaux pour comparer les services et les disponibilités : par exemple, selon la région, des entreprises comme Ambulances Carius, Ambulances Malkoff ou Ambulances Bernard peuvent proposer des contrats réguliers pour des trajets programmés, tandis que d’autres assurent une coordination pour le transport partagé. Les familles doivent aussi considérer l’aménagement du domicile pour limiter le nombre de transports nécessaires : un escalier sécurisé avec un monte-escalier ou une salle de bain équipée d’une douche PMR réduit considérablement les risques de chutes et les rendez-vous urgents.
Enfin, la décision doit intégrer la dimension humaine : la familiarité du patient avec le chauffeur, la capacité du transporteur à gérer un proche anxieux, et la possibilité d’un accompagnement pendant le trajet. Pour les aidants, anticiper ces éléments facilite la collaboration avec les prestataires et assure une meilleure continuité des soins.
Démarches pratiques : préparer documents, factures et suivi administratif
Anticiper les démarches administratives simplifie le remboursement et évite les retards. Avant le transport, il est conseillé de vérifier que la prescription est bien remplie, de demander au transporteur une facture détaillée et d’indiquer si un accompagnateur est présent. Les pièces à conserver sont : la prescription (Cerfa n°11574), l’accord préalable si nécessaire (Cerfa n°11575), les justificatifs de paiement, et la facture détaillée fournie par le transporteur.
Une check-list pratique pour les familles :
- Vérifier la validité de la prescription médicale.
- Demander une facture détaillée au transporteur (Cerfa n°11163 pour VSL/ambulance).
- Conserver les justificatifs de frais pour le véhicule personnel (Cerfa n°11162).
- Envoyer le dossier à la CPAM dans les meilleurs délais.
Document | Quand le demander | À qui l’envoyer |
---|---|---|
Prescription (n°11574) | Avant ou après transport d’urgence | Conserver pour dossier, envoyer si réclamation |
Facture transporteur | Au moment du paiement | Joindre au dossier CPAM |
État des frais (n°11162) | Véhicule personnel | Envoyer à la CPAM |
En cas de transport partagé, le transporteur doit mentionner tout refus par le patient sur la facture. Lorsque l’avance des frais est requise, il est prudent de fournir une preuve de paiement pour accélérer le remboursement. Les familles peuvent également solliciter l’aide d’un travailleur social ou d’une assistante sociale hospitalière pour préparer le dossier et vérifier l’éligibilité à des aides locales.
Pour compléter l’accompagnement, des ressources sur le soutien au maintien à domicile et les alternatives d’hébergement sont disponibles en ligne, comme des informations sur les résidences intergénérationnelles ou les béguinages, utiles pour organiser un projet de vie à long terme (https://vimo-senior.fr/residences-intergenerationnelles/, https://vimo-senior.fr/beguinages-logements-agees/).
Aides complémentaires, alternatives et ressources pour les familles
Au-delà de la prise en charge par l’Assurance maladie, plusieurs dispositifs peuvent alléger le coût global et améliorer l’organisation du maintien à domicile. Les bénéficiaires de la Complémentaire santé solidaire peuvent être exonérés de franchise et voir la totalité du transport pris en charge selon les cas. Des aides locales et départementales existent aussi pour financer des prestations d’accompagnement ou du transport adapté.
Les alternatives d’hébergement et les structures intermédiaires peuvent réduire la fréquence des transports : des solutions comme les MARPA (Maisons d’accueil rurales pour personnes âgées), les foyers logements, ou encore les résidences intergénérationnelles offrent des services permettant d’accéder plus facilement aux soins. Des guides pratiques abordent ces options et accompagnent les familles dans l’évaluation des coûts et des services disponibles.
- Aides sociales : CSS, aides départementales, APA pour les personnes âgées dépendantes.
- Alternatives : MARPA, résidences intergénérationnelles, béguinages.
- Ressources en ligne : pages d’information sur les aides et l’organisation du maintien à domicile.
Type d’aide | Objectif | Où se renseigner |
---|---|---|
Complémentaire santé solidaire | Réduction du reste à charge | CPAM / services sociaux |
Aide au transport local | Financement complémentaire | Conseil départemental |
Solutions d’hébergement | Réduction des déplacements quotidiens | Associations locales, VIMO Senior |
Pour approfondir les ressources utiles : des pages comme https://vimo-senior.fr/bpc-seniors-bronchite-qualite/ ou https://vimo-senior.fr/vaccination-seniors-calendrier/ offrent des repères sanitaires. Par ailleurs, pour des besoins spécifiques de logement ou de services, consulter des fiches dédiées comme https://vimo-senior.fr/maisons-retraite-privees-public/ permet de mieux anticiper l’organisation à moyen terme.
Pour une mise en relation avec des transporteurs agréés, la CPAM ou l’annuaire santé d’Ameli reste une ressource fiable. Parmi les prestataires cités fréquemment par les familles figurent Ambulances JUSSIEU Secours, Ambulances Kéolis Santé, Ambulances Harmonie Médical Service, Ambulances Carius, Ambulances Malkoff, Ambulances SCOR Santé, Ambulances ASSU 94, Ambulances Bernard, Ambulances Avenir Santé et Ambulances France Secours. Contacter plusieurs opérateurs permet d’obtenir des devis et d’évaluer la qualité de l’accompagnement.
Questions fréquentes sur le transport sanitaire
Qui peut prescrire un transport sanitaire et combien de temps vaut la prescription ?
La prescription est rédigée par un médecin et précise le mode de transport adapté. Elle est généralement valable un an, sauf indication contraire liée à l’évolution de l’état de santé.
Que faire si la CPAM refuse un accord préalable pour un transport longue distance ?
En cas de refus, le courrier de la CPAM indique les motifs. Il est possible de demander un réexamen avec un complément d’information du médecin prescripteur ou de se rapprocher du service social pour étudier d’autres aides.
Le transport partagé est-il obligatoire si le médecin l’autorise ?
Non, le patient peut refuser. Toutefois, si le médecin a indiqué que le transport partagé est compatible et que le patient refuse pour certains trajets programmés, des conséquences peuvent apparaître sur le dispositif de tiers payant et l’avance des frais.
Comment réduire le reste à charge pour les transports répétés (chimio, dialyse) ?
Vérifier l’éligibilité à l’exonération (ALD), solliciter une complémentaire santé adaptée, ou étudier les aides locales et le transport pris en charge dans le cadre du traitement. L’accord préalable pour séries de trajets peut aussi sécuriser la prise en charge.
Où trouver des informations et des prestataires fiables ?
L’annuaire santé d’Ameli répertorie VSL et ambulances. Les caisses locales orientent vers les taxis conventionnés. Par ailleurs, des sites spécialisés et des fiches pratiques sur le maintien à domicile (par exemple https://vimo-senior.fr/aide-transport-personnes-agees/) offrent des repères utiles pour les familles.