Un fauteuil qui aide à se lever transforme un intérieur et permet de retrouver des gestes quotidiens plus fluides. Face à une perte de mobilité progressive, ce type d’équipement devient souvent une solution préférée pour maintenir la personne âgée dans son environnement familier. Les enjeux sont multiples : sécurité des transferts, confort prolongé, préservation de la vie sociale et réduction de la pénibilité pour les aidants. Une attention particulière doit être portée à l’adéquation entre l’état de santé, l’environnement du domicile et le modèle choisi.
La mise en place d’un équipement adapté implique aussi des démarches administratives et des choix financiers. Entre l’ordonnance médicale, la recherche d’aides et le repérage des fournisseurs fiables, il est utile de connaître les critères d’éligibilité, les options de remboursement et les alternatives de financement. Plusieurs acteurs du marché, qu’il s’agisse de distributeurs spécialisés ou d’enseignes grand public, proposent des gammes variées. Cette mise en perspective aide à envisager une solution durable et respectueuse de la dignité de la personne concernée.
Fauteuil releveur : pourquoi choisir cet équipement pour le maintien à domicile
Le choix d’un fauteuil releveur s’inscrit d’abord dans une logique de prévention des risques liés aux transferts et à la station assise prolongée. Lorsque la force musculaire diminue ou que l’équilibre se dégrade, s’asseoir et se relever deviennent des gestes à risque. Le mécanisme motorisé du fauteuil réduit l’effort nécessaire et limite les sollicitations inappropriées du dos et des articulations.
Sur le plan psychologique, la possibilité d’effectuer un lever sans assistance procure une confiance retrouvée. Cela favorise une plus grande autonomie dans les activités quotidiennes comme lire, regarder la télévision ou recevoir des proches. Le fauteuil devient alors plus qu’un meuble : il joue un rôle fonctionnel et symbolique dans la préservation d’une vie normale.
En maison, le fauteuil releveur s’intègre dans un parcours de maintien à domicile global. Il peut être utilisé seul ou en complément d’autres équipements : un monte-escalier pour franchir un étage, une douche PMR pour assurer une hygiène sécurisée, ou encore des barres d’appui posées aux endroits clés. Ensemble, ces solutions réduisent le recours à des structures de soins et favorisent le maintien des habitudes.
Aspects pratiques à considérer :
- Capacité de charge et dimensions adaptées à la morphologie.
- Type de motorisation (1 à plusieurs moteurs) pour des réglages fins.
- Qualité du revêtement pour l’entretien et le confort.
- Sécurité des commandes (télécommande simple, boutons larges).
Les bénéfices concrets observés auprès des utilisateurs incluent une diminution des chutes et des sollicitations des aidants. Des études de terrain et des retours d’expérience montrent également une amélioration de la qualité de vie et une réduction des épisodes de douleur lors des transferts.
Choisir un fauteuil releveur, c’est donc répondre à la double exigence de sécurité et d’autonomie, tout en respectant la singularité des besoins de la personne.

Fauteuil releveur : les différents types et usages selon les besoins
La diversité des modèles de fauteuil releveur permet d’ajuster la solution à la situation clinique et à l’environnement. Parmi les options principales se distinguent les modèles manuels, électriques, bariatriques, dos au mur, et le fauteuil coquille destiné aux dépendances lourdes. Chaque type présente des caractéristiques spécifiques à la fois en termes de confort, d’ergonomie et d’éligibilité aux aides.
Les modèles électriques à un moteur gèrent généralement de façon synchronisée le dossier et le repose-jambes. Les versions à deux, trois ou quatre moteurs offrent des réglages indépendants permettant une position plus personnalisée et souvent une meilleure répartition des pressions. Pour les personnes souffrant de douleurs lombaires ou de troubles neurologiques, ces réglages fins améliorent le maintien et réduisent l’inconfort.
Le fauteuil coquille se distingue par une enveloppe plus contenante et un maintien latéral renforcé. Il est conçu pour les situations de dépendance avancée et figure parmi les rares modèles susceptibles d’être remboursés par l’assurance maladie lorsqu’une prescription médicale le recommande. À l’opposé, le fauteuil relax manuel ou le fauteuil dos au mur répondent à des besoins plus légers, souvent privilégiés pour le confort sans prescription médicale.
Comparatif synthétique (tableau récapitulatif) :
Type | Usage | Points forts | Prise en charge possible |
---|---|---|---|
Fauteuil relax manuel | Confort, maintien léger | Simplicité, prix contenu | Rarement |
Fauteuil releveur électrique (1-4 moteurs) | Mobilité réduite, autonomie | Réglages précis, confort | Non systématique |
Fauteuil bariatrique | Utilisateurs en surpoids | Structure renforcée, sécurité | Variable |
Fauteuil dos au mur | Gain de place | Adapté aux petits espaces | Non |
Fauteuil coquille | Dépendance lourde | Maintien, prévention des pressions | Possible (LPPR) |
Liste des usages courants :
- Faciliter le lever quotidien sans solliciter un aidant.
- Permettre des positions intermédiaires pour la lecture ou le repos.
- Réduire le risque de glissement et la formation d’escarres.
- Accompagner un retour à domicile après hospitalisation.
Le choix du type dépendra d’une évaluation ergothérapeutique et médicale. Un professionnel évaluera la morphologie, les points de fragilité cutanée, la mobilité des hanches et la configuration du logement.
Fauteuil releveur : critères techniques et normes pour bien choisir
Comprendre les caractéristiques techniques d’un fauteuil releveur facilite le choix et garantit la sécurité. Il faut examiner la largeur d’assise, la profondeur, la hauteur du siège, la densité des mousses, la capacité de charge, le nombre de moteurs et la stabilité du châssis. Ces éléments conditionnent le confort, la durabilité et l’adaptabilité du fauteuil au quotidien.
Les normes applicables et la conformité aux exigences médicales méritent une attention particulière. Les fauteuils destinés à un usage médicalisé doivent répondre à des standards de sécurité électrique, de résistance mécanique et, pour certains modèles, figurer sur la LPPR (liste des produits et prestations remboursables). Le respect de ces exigences assure une compatibilité avec la prescription médicale et facilite l’accès aux aides.
Aspects techniques détaillés :
- Largeur et profondeur : adaptées à la morphologie pour éviter les points de pression.
- Capacité de charge : vérifier pour les modèles bariatriques (structures renforcées).
- Mécanisme : fiabilité du moteur, facilité d’accès aux composants pour maintenance.
- Revêtement : propriétés d’entretien (housse lavable, résistance aux tâches).
Un équipement bien dimensionné évite les complications cutanées et facilite les transferts. Par exemple, une assise trop basse accroît la difficulté du lever, tandis qu’une profondeur insuffisante peut provoquer une mauvaise posture lombaire. Les modèles à plusieurs moteurs permettent d’ajuster séparément le dossier, le repose-jambes et la têtière, améliorant ainsi la posture et la circulation sanguine.
Points de vérification avant l’achat :
- Contrôler la solidité du châssis et la présence d’un verrouillage de sécurité.
- S’assurer de la simplicité d’utilisation de la télécommande, avec des commandes larges et inversées si besoin.
- Vérifier l’accessibilité des pièces pour l’entretien et la disponibilité des pièces de rechange.
- Confirmer la conformité électrique et la présence d’un marquage CE pour les composants.
Les fournisseurs spécialisés comme Médical Domicile, Matériel Médical.fr ou Invacare mettent en avant des fiches techniques détaillées et une assistance technique. Les enseignes du marché non spécialisé (La Maison du Fauteuil, Monsieur Meubles, Cuir Center, But, Conforama) proposent des gammes grand public souvent attractives, mais il est essentiel de vérifier la conformité aux exigences médicales si une prise en charge est envisagée.
En somme, la lecture attentive des caractéristiques techniques est une étape décisive pour un achat durable et sécurisé.

Fauteuil releveur : prescription médicale et critères d’éligibilité au remboursement
La première étape administrative est la prescription par un médecin. Cette prescription précise le modèle recommandé et justifie la nécessité médicale. Pour prétendre à un remboursement par l’assurance maladie, le fauteuil doit généralement figurer sur la LPPR et répondre aux critères définis par la caisse primaire. Le processus implique souvent l’interaction entre le prescripteur, le fournisseur agréé et l’assurance maladie.
La grille AGGIR sert de référence pour apprécier le degré de dépendance. Les personnes classées GIR 1 ou GIR 2, correspondant à une dépendance très lourde, sont plus susceptibles d’obtenir une prise en charge, en particulier pour le fauteuil coquille. Pour les autres modèles, la couverture reste exceptionnelle et dépend d’orientations thérapeutiques spécifiques.
Étapes pratiques du parcours administratif :
- Obtenir une prescription claire et détaillée du médecin traitant ou du gériatre.
- Se rapprocher d’un fournisseur agréé qui constituera le dossier (devis, fiche technique, CERFA si nécessaire).
- Transmission du dossier à la caisse d’assurance maladie pour instruction.
- En cas de refus, évaluer d’autres options comme la PCH via la MDPH ou un complément de mutuelle.
La documentation requise inclut souvent un devis détaillé, la fiche technique du produit et des justificatifs médicaux. Certains fournisseurs se chargent d’envoyer directement le dossier à la caisse, ce qui facilite le parcours pour les familles. Une attention particulière doit être portée à la conformité du modèle avec la fiche LPPR afin d’éviter les refus pour motif administratif.
En cas de rejet, la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) peut proposer la Prestation de Compensation du Handicap (PCH). Cette aide est attribuée après évaluation et peut couvrir une grande partie du coût si la situation est reconnue comme nécessitant un maintien à domicile conséquent.
Enfin, la décision d’éligibilité dépend aussi des pratiques locales et de l’interprétation des dossiers par la CPAM ou les services de la MDPH, d’où l’intérêt d’un dossier complet et argumenté.
La formalisation d’une prescription adaptée et le recours à un fournisseur expérimenté augmentent significativement les chances d’obtenir une prise en charge.
Fauteuil releveur : aides financières, PCH, mutuelles et crédits d’impôt en 2025
Le financement d’un fauteuil releveur combine plusieurs sources potentielles. En 2025, la logique reste la même : la sécurité sociale prend en charge certains dispositifs médicaux listés sur la LPPR, la MDPH peut accorder une PCH, et les mutuelles proposent des forfaits ou des remboursements complémentaires. Un crédit d’impôt de 25 % sur le montant TTC peut être mobilisé dans le cadre d’aménagements pour le maintien à domicile, sous conditions fiscales.
Points clés des aides disponibles :
- Prise en charge par la sécurité sociale : limitée aux produits référencés (notamment le fauteuil coquille selon critères).
- PCH (MDPH) : allocation individualisée après étude du dossier et reconnaissance du handicap durable.
- Mutuelles : complémentaires pouvant offrir un forfait équipement ou un remboursement partiel.
- Crédit d’impôt : possible pour travaux d’accessibilité et équipement, selon la législation fiscale et conditions d’éligibilité.
Les démarches pour solliciter ces aides nécessitent des pièces justificatives et souvent une évaluation préalable. Les fournisseurs spécialisés comme Facilavi et Senior Mobilité proposent un accompagnement administratif pour constituer les dossiers. De même, choisir un point de vente agréé facilite l’instruction du dossier par la caisse d’assurance maladie.
Exemples de montages financiers :
- Mise en place d’une demande de remboursement auprès de la CPAM pour un fauteuil coquille, complétée par une demande de PCH si besoin.
- Solde financé par un complément de mutuelle ou par un prêt personnel adapté aux dépenses d’amélioration du confort.
- Mobilisation du crédit d’impôt lorsque l’achat s’inscrit dans des travaux d’adaptation du logement.
Pour optimiser la prise en charge, il est conseillé de :
- Vérifier l’inscription du modèle sur la LPPR avant l’achat.
- Solliciter une expertise ergothérapeutique pour appuyer le dossier.
- Comparer les offres et les services après-vente entre fournisseurs spécialisés et enseignes grand public.
Les montants à la charge de l’usager peuvent varier fortement : un fauteuil basique peut débuter autour de quelques centaines d’euros, tandis que des modèles haut de gamme ou médicalisés dépassent plusieurs milliers. Les aides combinées permettent souvent de réduire substantiellement ce reste à charge.
La coordination entre prescripteur, fournisseur et organismes sociaux est la clé pour sécuriser un financement adapté à la situation.

Fauteuil releveur : conseils pratiques pour l’achat, essais et choix du fournisseur
Le marché propose des vendeurs très divers : enseignes généralistes comme La Maison du Fauteuil, Monsieur Meubles, Cuir Center, But ou Conforama, ainsi que des spécialistes médicaux tels que Médical Domicile, Matériel Médical.fr ou Invacare. Les différences se situent souvent au niveau du conseil, du service après-vente et de la capacité à accompagner les démarches de remboursement.
Avant d’acheter, il est fortement recommandé d’essayer plusieurs modèles en magasin. L’essai permet de vérifier la facilité d’utilisation de la télécommande, la stabilité du mécanisme, le soutien lombaire et la disponibilité d’options comme la télécommande ergonomique ou la têtière motorisée. Dans le cas d’un achat à distance, privilégier un vendeur qui propose des retours facilités et une garantie claire.
Checklist pratique pour l’achat :
- Essayer le fauteuil en conditions réelles (temps d’essai, position relevée et semi-allongée).
- Vérifier la garantie et les conditions d’entretien.
- Demander un devis détaillé mentionnant les options et les frais de livraison.
- Confirmer la disponibilité des pièces détachées et la durée de service après-vente.
Les fournisseurs spécialisés offrent souvent des prestations supplémentaires : ajustement à domicile, essai prolongé, location avant achat, et assistance pour constituer le dossier de prise en charge. Les enseignes grand public peuvent proposer des tarifs compétitifs mais moins d’accompagnement administratif.
Exemples d’options utiles à considérer :
- Système d’alarme intégré ou fixations pour accessoires médicaux.
- Revêtement déhoussable et nettoyable en machine pour l’hygiène quotidienne.
- Sièges avec mousse à mémoire ou densité variable pour prévenir les escarres.
Enfin, la logistique est souvent sous-estimée : transport, installation, calibration et formation de l’utilisateur et des aidants constituent une part importante de la réussite de l’équipement. Les prestataires comme Facilavi offrent des prestations clés en main qui simplifient ces étapes et rassurent les familles.
Un choix informé et un accompagnement adapté permettent d’optimiser l’investissement et d’assurer une utilisation sereine et durable.
Fauteuil releveur : aménager le domicile et combiner les aides techniques
Le fauteuil releveur s’intègre à un projet d’aménagement global du domicile. Associer l’installation d’un fauteuil à l’adaptation d’autres espaces augmente la sécurité et le confort. Par exemple, l’installation d’une douche PMR au rez-de-chaussée facilite l’hygiène et réduit les transferts à risque. Un monte-escalier peut, quant à lui, assurer la continuité d’accès à tous les niveaux de la maison.
Les barres d’appui et les sièges de douche, les rehausseurs de toilettes et les planchers antidérapants complètent efficacement la présence d’un fauteuil releveur. Penser l’aménagement global évite les solutions isolées peu compatibles entre elles et réduit le stress pour l’usager et les aidants.
Liste d’aménagements complémentaires :
- Pose d’une douche PMR avec siège et paroi coulissante.
- Installation d’un monte-escalier ou d’une rampe selon la configuration.
- Renforcement des points d’appui avec barres d’appui aux endroits stratégiques.
- Adaptation de la hauteur du lit, chevets et surfaces accessibles en position assise.
La coordination des travaux avec un ergothérapeute permet d’optimiser l’ergonomie du domicile. De nombreuses aides financières couvrent une partie des travaux d’aménagement, et des crédits d’impôt peuvent alléger l’investissement global. Les familles peuvent s’informer sur les démarches via des fiches pratiques et des guides proposés en ligne.
Ressources utiles et liens thématiques :
- Conseils pour le lever et coucher : https://vimo-senior.fr/aide-lever-coucher/
- Information sur les lieux d’accueil pour personnes âgées : https://vimo-senior.fr/maisons-accueil-personnes-agees/
- Coût indicatif d’un monte-escalier tournant : https://vimo-senior.fr/monte-escalier-tournant-cout/
- Prévention des chutes : https://vimo-senior.fr/chutes-personnes-agees-prevention/
- Retour d’hospitalisation et fracture du fémur : https://vimo-senior.fr/fracture-femur-hospitalisation/
- Aide à la toilette à domicile : https://vimo-senior.fr/aide-toilette-personnes-agees/
Penser le domicile dans sa globalité réduit les allers et retours dangereux et permet d’harmoniser les solutions techniques pour un quotidien plus sûr et plus serein.
Fauteuil releveur : démarches pratiques, erreurs à éviter et ressources pour les familles
La constitution d’un dossier solide est souvent la clé d’un parcours administratif réussi. Pour cela, il faut collecter la prescription médicale, un devis détaillé du fournisseur, les justificatifs médicaux et éventuellement un rapport d’ergothérapeute. Les erreurs les plus fréquentes proviennent d’un dossier incomplet, d’un modèle non conforme à la LPPR ou d’un choix d’enseigne non agréée pour la prise en charge.
Quelques conseils pratiques :
- Ne pas acheter avant de vérifier la possibilité de remboursement si l’objectif est une prise en charge.
- Privilégier un fournisseur capable d’accompagner la démarche administrative.
- Tester le fauteuil dans des conditions réelles en magasin ou via une période d’essai à domicile.
- Vérifier les délais de livraison et les modalités d’installation.
Les aidants peuvent se sentir dépassés par la paperasserie. Des services d’accompagnement existent pour alléger ce fardeau : aides locales, associations et conseillers en accessibilité proposent souvent un suivi personnalisé. Les prestataires expérimentés fournissent des modèles de dossiers et gèrent parfois l’envoi des pièces aux organismes compétents.
Ressources pratiques pour aller plus loin :
- Contactez un magasin spécialisé pour un bilan ergonomique complet.
- Vérifiez l’inscription du modèle sur la LPPR et demandez une fiche technique détaillée.
- Demandez un devis détaillé incluant livraison, installation et reprise éventuelle d’un ancien matériel.
Enfin, il ne faut pas négliger la dimension humaine : expliquer le fonctionnement du fauteuil à la personne concernée et aux aidants, prévoir une période d’adaptation et organiser un suivi régulier permet de tirer le meilleur parti de l’équipement.
Une démarche méthodique et un accompagnement de qualité diminuent le stress administratif et garantissent une utilisation sécurisée du fauteuil.
Questions fréquentes et réponses pratiques
Quel fauteuil est remboursé par la sécurité sociale ? Le remboursement par la sécurité sociale est rare et concerne principalement le fauteuil coquille prescrit pour une dépendance lourde, figurant sur la LPPR.
Comment maximiser les chances de prise en charge ? Constituer un dossier complet avec prescription, devis détaillé et avis d’ergothérapeute, et passer par un fournisseur agréé augmente les probabilités d’obtenir une aide.
Existe-t-il des aides pour l’aménagement du domicile ? Oui, la PCH via la MDPH, des subventions locales et un crédit d’impôt pour certains travaux peuvent participer au financement des aménagements.
Quels fournisseurs contacter ? Pour du matériel médicalisé, privilégier des spécialistes comme Médical Domicile ou Matériel Médical.fr. Pour un choix esthétique, des enseignes comme La Maison du Fauteuil ou Conforama proposent des gammes variées.
Est-il utile de consulter un ergothérapeute ? Absolument. Un ergothérapeute réalise un bilan fonctionnel précis et oriente vers le modèle le mieux adapté aux contraintes du domicile et à la morphologie.
FAQ
Un fauteuil releveur peut-il prévenir les chutes ? Oui, en facilitant le transfert assis-debout et en réduisant la fatigue, il diminue le risque de chute lors des lever/asseoir.
Quel est le coût moyen d’un fauteuil releveur ? Les prix varient fortement : de quelques centaines pour un modèle basique à plusieurs milliers pour un fauteuil médicalisé multi-moteurs.
La location est-elle une option intéressante ? La location peut être adaptée pour un usage temporaire (retour d’hospitalisation) et permet d’éviter un investissement lourd.
Qui installer le fauteuil à domicile ? Les fournisseurs assurent souvent la livraison et l’installation ; pour des cas complexes, il peut être nécessaire d’intervenir avec un professionnel du maintien à domicile.
Comment entretenir un fauteuil releveur ? Respecter les recommandations du fabricant, nettoyer les revêtements et planifier des contrôles périodiques du mécanisme garantissent la longévité de l’équipement.